Dark Souls, développé par le studio nippon FromSoftware, sort demain en Europe, sur PS3 et XBOX 360. Si, comme moi, joueur de la console de Microsoft, vous avez été frustré de ne pas pouvoir tester le précédent opus Demon’s Soul, alors vous pouvez vous rassurer, le jeu a l’air de tenir toutes ces promesses, et même plus.

Dark Souls

Demon’s Souls a été la grosse surprise de 2009 sur la scène RPG. Développé tout d’abord pour le marché japonais exclusivement, il a tellement bien marché sur l’archipel qu’il a finalement été distribué dans d’autres pays d’Asie, aux Etats-Unis, puis finalement, en Europe le 25 juin 2010, presque un an et demi après sa sortie au Japon. Il faut dire que les joueurs américains et européens avaient bien gueulé auprès de Sony pour avoir la chance de pouvoir y joueur dans une langue compréhensible. Et on peut dire qu’ils ont eu raison.

Le jeu a été un succès critique et commercial. Un retour aux sources du RPG, une difficulté exarcerbée, une histoire profonde, bien que difficile à appréhender, un système multijoueur original et qui fonctionne, bref, un jeu comme on en voit trop rarement. Je vous conseille d’ailleurs le très bon videotest de bibi300 sur ce jeu, qui montre et explique plus en détail tous ces points.

Dark Souls

Alors évidemment, la suite était attendue au tournant. D’après les différents reports du jeu, au Japon comme aux Etats-Unis, il n’y a aucune crainte à avoir. On retrouve tous les points forts du jeu précédent, un système communautaire qui a été encore amélioré, des graphismes évidemment revus à la hausse, une ambiance dark-fantasy maîtrisée. Mais ce qui fait la force de cette licence, c’est sûrement sa difficulté : elle rajoute cette jouissance que l’on a quand on arrive enfin à butter un boss après des dizaines d’essais.

Et je vous laisse sur les mots de Carlson Choi, vice-président marketing de Namco Bandai : « I hope the players are prepared. To die. »